Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
BeeMEDIAS

L'INFO DU VRAI , UN MEDIA DIRECT

Le site Transparence santé nous apprend que ces deux spécialistes qui parlent dans l’oreille du gouvernement ont des conflits d’intérêt, entre autres, avec le laboratoire Gilead qui produit le Remdesivir

Le site Transparence santé nous apprend que ces deux spécialistes qui parlent dans l’oreille du gouvernement ont des conflits d’intérêt, entre autres, avec le laboratoire Gilead qui produit le Remdesivir. Sur la base d’études pour le moins contestables, ils ont disqualifié le protocole proposé par l’IHU de Marseille et ont promu le Remdesivir ou le plasma sanguin. Or on sait maintenant que l’un comme l’autre non seulement sont inutiles mais aussi nuisibles, voire dangereux. Dans sa vidéo de mardi dernier intitulée « Riri, Fifi et Loulou font de la science », le Pr Raoult a ironisé (sans pratiquer le dénigrement de confrères) sur les « apprentis sorciers » qui en utilisant sans garde-fou ces deux thérapeutiques, sont peut-être, selon une étude scientifique, à l’origine du fameux « mutant anglais » à cause duquel on nous inflige encore de nouvelles privations de liberté.
Cela suffit. Il ne s’agit pas d’infliger une amende de 75 000 € à France-Soir ni à Francis Lalanne, comme le voudraient les commissaires politiques de la presse collaborationniste, mais de rétablir la justice et le bon sens. Le Figaro nous a appris que sept parlementaires ont écrit à Véran pour qu’il diligente une enquête sur les conflits d’intérêt de ses conseillers. Véran n’a toujours pas répondu, de même qu’il n’a toujours pas répondu à Me Fabrice di Vizio qui au nom d’un collectif de médecins, lui a demandé le 14 décembre de diligenter une enquête auprès du conseil de l’ordre sur le comportement de Jérôme Salomon sur la question des masques et devant une commission d’enquête parlementaire. Or ce conseil de l’ordre, loin de convoquer Salomon pour ses atermoiements qui ont peut-être coûté la vie à des médecins obligés de pratiquer sans masques, loin de convoquer Véran pour avoir recommandé paracétamol et Rivotril tout en interdisant hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, etc., s’en prend au Pr Perronne et au Pr Raoult parce qu’ils ont appliqué dès mars la triade « Tester, isoler, traiter », alors que ce gouvernement en est encore en janvier à « Tester, isoler, surtout ne pas traiter, tracer ». Ces silences de la presse d’État, son omerta devant l’initiative du « Comité Santé & Liberté » réunissant 30 000 médecins traitementistes derrière les associations de médecins créées depuis le début de cette crise, dont la députée Martine Wonner et le sénateur Alain Houpert, qui a donné cette conférence de presse, ce silence et la persistance de cette presse d’État payée par nos impôts à marteler le mensonge répandu par le président et ses ministres selon lequel il n’existerait aucun traitement contre le Covid, tout cela ne mérite-t-il pas le qualificatif de « presse collaborationniste » ?
Les parlementaires que vous êtes devraient demander des comptes au CSA (comme proposé dans cet article) pour ne pas avoir fait respecter un équilibre de temps de parole sur les médias dont il a la charge, entre médecins vaccinistes et médecins traitementistes, lesquels non seulement ne sont pas invités, mais sont victimes d’un tabassage perpétuel auquel ils ne peuvent pas répondre. Pour vous rendre compte de la manipulation qui se cache derrière ce « vaccin », je vous conseille une « consultation » fictive proposée par Réinfocovid, avec Louis Fouché dans le rôle du médecin.

Donc Mesdames & Messieurs les députés & les sénateurs, nous n’avons pas besoin de lâches plumitifs pour appeler à exécuter celui qui dit la vérité, mais nous avons besoin de 58 députés courageux ou 35 sénateurs éveillés pour déclencher une mesure constitutionnelle que Francis Lalanne est loin d’être le seul citoyen à appeler de ses vœux. Une proposition de résolution motivée doit en effet selon l’article 68, être signée par un dixième des députés ou des sénateurs, avant d’être adoptée à la majorité des deux tiers de chacune des deux assemblées. La procédure s’arrêterait sans doute à ce stade, mais mettrait quand même un frein à l’attitude de cette macronie qui se croit toute-puissante. La tyrannie doit cesser immédiatement. La République macronière doit céder la place à la République !

Pour conclure, je citerai Émile Zola, que Francis Lalanne aurait pu paraphraser :
« la vérité est en marche, et rien ne l’arrêtera. C’est d’aujourd’hui seulement que l’affaire commence, puisque aujourd’hui seulement les positions sont nettes : d’une part, les coupables qui ne veulent pas que la lumière se fasse ; de l’autre, les justiciers qui donneront leur vie pour qu’elle soit faite. Quand on enferme la vérité sous terre, elle s’y amasse, elle y prend une force telle d’explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle. On verra bien si l’on ne vient pas de préparer, pour plus tard, le plus retentissant des désastres. »
« J’accuse le général Mercier de s’être rendu complice, tout au moins par faiblesse d’esprit, d’une des plus grandes iniquités du siècle. »
« En portant ces accusations, je n’ignore pas que je me mets sous le coup des articles 30 et 31 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881, qui punit les délits de diffamation. Et c’est volontairement que je m’expose. »

J’ignore quelle sera la suite, mais je souhaite aux vrais journalistes s’il en reste, et je vous souhaite à vous, Mesdames & Messieurs les parlementaires qui accepterez de soutenir cette proposition de résolution, de pouvoir vous regarder dans votre miroir avec fierté quand la vérité éclatera. En attendant, j’espère qu’à l’instar d’Émile Zola, Francis Lalanne n’aura pas à s’exiler pendant un an, le temps que le bon sens reprenne ses droits. Et ne craignez pas de ne pas voter comme le troupeau. L’un de vos illustres prédécesseur, Victor Hugo, s’illustra en votant maintes fois à l’encontre de son propre parti, ici interprété par Yannick Choirat dans le téléfilm Victor Hugo, ennemi d’État.

P. S. Je m’étais déjà adressé aux députés le 21 décembre dernier, et j’avais reçu cette réponse de Mme Brigitte Kuster, que je remercie :

« Cher Monsieur,

Je vous remercie de me donner l’occasion de partager avec vous mon avis sur les projets du gouvernement concernant l’état d’urgence sanitaire.
Tout d’abord, le dépôt du projet de loi dit Castex a provoqué des réactions très vives et de nombreuses inquiétudes. Son retrait précipité témoigne d’ailleurs de la fébrilité du gouvernement face aux preuves de possibles dérives antidémocratiques. Soyez assuré que je resterai vigilante face à un possible retour de ce projet de loi à l’Assemblée nationale et que je déposerai des amendements afin que toute mesure restreignant nos libertés fasse l’objet d’un débat et d’un vote au Parlement.

La démocratie ne saurait être suspendue lorsque surviennent des crises.

Concernant la prorogation de l’état d’urgence sanitaire dont nous avons débuté l’examen, je souhaite partager avec vous mon inquiétude quant à la pérennisation d’un régime d’exception. Si la situation sanitaire reste préoccupante, je ne soutiens pas l’initiative du gouvernement qui consiste à prolonger jusqu’en juin (soit tout un semestre !) l’état d’urgence. J’ai d’ailleurs cosigné plusieurs amendements visant à en réduire la durée pour que nous ayons à nouveau un débat en avril. De même, je me suis engagée au travers de courriers aux différents ministres pour que les pistes alternatives soient davantage étudiées. La stratégie vaccinale du gouvernement par exemple mérite d’être interrogée pour l’adapter aux réalités et ainsi accélérer l’immunité collective.

Soyez assuré de mon engagement à défendre les libertés des Français et à proposer des solutions permettant une sortie de crise dans les meilleurs délais.

Bien cordialement,

Brigitte Kuster
Députée de Paris »

-

Cher Monsieur,

J’ai bien reçu votre courrier électronique, en date du 20 janvier dernier, par lequel vous me demandez de voter contre la prolongation de l’état d’urgence sanitaire. Je vous en remercie.
Le mercredi 20 janvier, l’Assemblée nationale débattait et votait sur un projet de loi prorogeant l’état d’urgence sanitaire (n° 3733, 3739). Le gouvernement souhaite en effet prolonger jusqu’au 1er juin 2021 inclus, l’état d’urgence sanitaire en vigueur depuis le 17 octobre 2020 (au lieu du 16 février inclus).
Il m’est d’avis que tout régime d’exception, par nature, doit être strictement nécessaire et proportionné, dans les mesures comme dans la durée. Alors que le Gouvernement dispose de la possibilité d’y mettre fin préalablement par décret, nous proposions, députés socialistes et apparentés, de restreindre chaque prorogation à un délai raisonnable qui ne devrait pas excéder trois mois, soit jusqu’au 16 avril.
En effet, malgré la crise sanitaire, la démocratie ne doit pas être confinée ! Le Parlement doit pouvoir juger si la prolongation de l’état d’urgence est nécessaire au-delà de ce délai raisonnable et doit pouvoir contrôler la mise en œuvre de ce régime d’exception de manière bien plus importante qu’il ne le fait aujourd’hui. C’est ce que le groupe parlementaire Socialistes et apparentés a défendu au cours des débats.
Toutefois, le gouvernement, avec l’assentiment de sa majorité parlementaire, n’a pas souhaité ne serait-ce qu’entamer un semblant de débat avec la représentation nationale en général, ni avec les groupes d’opposition en particulier. Face à cette volonté forcenée de passer outre la représentation nationale, à cette tentation permanente d’échapper aux contrôles nécessaires des contrepouvoirs qui font notre démocratie, j’ai voté CONTRE cette prorogation de l’État d’urgence sanitaire. Non pas parce que je refuse toute mesure sanitaire rendue nécessaire pour contenir la pandémie, mais parce que le gouvernement ne donne aucune garantie et ne permet pas que le parlement puisse se prononcer et contrôler effectivement l’efficacité et l’opportunité des mesures.

Vous pourrez retrouver le détail du scrutin en vous rendant sur le lien suivant.

Espérant avoir répondu à vos inquiétudes, je vous prie d’agréer, cher Monsieur, l’expression de mes sentiments les meilleurs.

Christine Pirès Beaune, députée du Puy-de-Dôme

 

La pétition initiée par Francis Lalanne est à signer ici. J’ai été le 126e !

 Front Populaire publie le 25 janvier une entrevue de Régis de Castelnau sur cette tribune de Lalanne. S’il balaie les appels punitifs des chiens de garde de la presse d’État, et ne parle pas des cheveux longs de Lalanne mais commente le fond, ses commentaires condescendants sont assez énervants quand il est question d’une insurrection. Régis de Castelnau oublie-t-il que lui aussi a fait partie des parias du Covid pour avoir participé au film Hold-up ? Nous sommes en guerre, alors si les Résistants pouvaient éviter de se tirer dans les pattes, ça ne serait pas plus mal. On se fout un peu qu’il y ait des incohérences dans la tribune de Francis Lalanne, M. de Castelnau : oui on non faut-il mettre en œuvre la devise du journal Front populaire dans lequel vous vous moquez de Lalanne : « Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres ! » Qui de Francis Lalanne, de Stéphane Turillon, de Michel Onfray et de vous est le plus digne de La Boétie ? Celui que vous qualifiez de « coutumier d’initiatives extravagantes et que personne ne prend au sérieux » a lui le courage de perpétuer la tradition française de la révolte que vous, vous proclamez sans la mettre en œuvre. Lors de la révolte des gilets jaunes, vous direz ce que vous voudrez, Francis Lalanne n’était pas sur les plateaux-télés, il était sur les ronds-points. « Words, words, words », chantait Léo Ferré…

 

P.S. : En 2009, Francis Lalanne avait déjà conjugué ses talents de poète à ceux de juriste amateur en publiant Mise en demeure (À Monsieur le Président de la République française). Je me permets d’ajouter un bref souvenir personnel. En 1984, j’avais 18 ans, en 1re année de fac à Paris IV. Mon goût des lettres m’était venu notamment de l’amour de la chanson, n’étant pas d’origine bourgeoise. La chanson, c’était Ferré, Brel, Anne Sylvestre, Catherine Ribeiro, Jacques Bertin, mais c’était surtout Lalanne, qui n’avait que 8 ans de plus que moi. Ayant appris que l’émission de TV Aujourd’hui la vie cherchait des téléspectateurs, j’avais écrit et été choisi par le présentateur, Marc Legras – un vrai journaliste – et j’avais eu l’occasion de rencontrer Francis Lalanne dans cette belle émission d’échange sans paillettes comme on n’en fait plus. Il m’est arrivé de le recroiser, il avait toujours un mot gentil. Je lui ai conservé mon admiration au fil des années, même s’il m’a parfois agacé. Je suis particulièrement heureux de le rejoindre dans ce combat pour la révolution maintenant qu’il est grand-père, lui que j’ai tant de fois entendu chanter en concert « Le grand-père et la révolution »… En général c’était celle qu’il revenait chanter a cappella à la fin d’un spectacle de quatre heures comme ici en public à Pantin. « Cheveux aux vent, beau comme un Dieu, il criait « Camarade Bon Dieu, c’est quand dis la révolution ? » ». Vous en connaissez beaucoup, vous, des hommes qui deviennent ce qu’ils disaient qu’ils deviendraient ? Merci, l’artiste !

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article